- SerpentSonge a écrit:
- Je suis d'accord avec toi Génome mais on peut aller plus loin. Aujourd'hui le droit puni les résultats de "pulsions hormonales instables" et les punis gravement puisqu'elles peuvent déboucher sur les pires crimes de notre société. Alors sanctionner ces gens qui ne font que répondre à leur instinct n'est-ce pas une utopie de juriste ?
je comprend ce que tu veux dire; mais dans ce cas là, il s'agit de pulsions émanant d'un déséquilibre hormonale suscité par une excitation cérébrale.
L'excitation vient de l'influence de certains codes psychologiques induits (putain elle est bonne avec sa minijupe), qui exacèrbent un déséquilibre hormonale déjà existant (il faut que je me la fasse, c'est pas tous les jours que je croise une bonnasse comme celle là), la conjonction de ces deux vecteurs contre balance l'inhibition sociale de notre éducation, et pour le violeur, cet acte c'est le bonheur ! Il ne calcule plus les risques potentiels de son crime, et il plonge dans ce nirvana déviant.
Pour moi, ce problème comportemental est issu:
1) d'un problème neuro-biologique
2) d'un problème d'inhibitions face aux excitations psychologiques augmentant 1)
3) d'un problème d'éducation n'ayant pas fourni les outils necessaires à cette personne pour garder le contrôle, ou trouver le moyen de conserver le contrôle (thérapie, castrement chimique...), et réaliser la déviance dangereuse de son acte.
La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres, dixit un célèbre pornographe. Il en est de même (ama) pour le bonheur qui est relatif lui aussi à chacun, mais qui peut avoir de grave conséquences sur autrui dans son accomplissement.
Ceci est parfaitement condamnable. Pour moi il est limité d'en rapporter l'unique responssabilité au criminel, car
il faudrait aussi estimer la part d'implication due à la négligeance des parents dans leur éducation, et celle d'un événtuel médecin si suivi il y a eu.
Dans cette société, le bonheur passe par la vigilence de tous, en toute impartialité.
C'est pourquoi celà reste humainement et malheureusement impossible.