Nemedia, cercle des contrées chimériques Celtiques
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Légendes celtiques et héroic fantasy, pas de place aux faibles, ici on vénère Ogma, Dagda et Morrigan. Venez rejoindre des barbares Celtes en Nemedia
 
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 Les Astres Dieux

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Cneus le cruel
Négociant sournois d'Ouranos
Cneus le cruel


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MessageSujet: Re: Les Astres Dieux   Les Astres Dieux - Page 2 EmptyMar 14 Aoû - 23:26

Chapitre 5 : l’ombre de Sol

La chasse au Vivihl était loin d’être facile. Dès qu’il vous avait repéré, il faisait des bonds incroyables et tout ce qu’on pouvait voir de lui pendant ces dernières secondes était ses fesses blanches et ébouriffées. Après quoi il disparaissait dans les sous-bois.

La forêt des milles épines était cependant assez giboyeuse pour donner une nouvelle chance au chasseur. Et de la chance, j’en avais eu beaucoup, car c’était le troisième Vivihl que Vehl et Koltar me rabattaient. Ils devaient être furieux que je n’ai pas attrapé les autres !


Pour le moment la bête semblait inconsciente du danger. Après avoir bondi jusqu'ici elle s'était arrêter pour reprendre son repas. Elle broutait désormais paisiblement, relevant la tête de temps en temps avec une certaine insouciance. Je continuai à m’approcher à pas de Kolv carnassier. Je vis que la fourrure de la bête était déjà en train de changer : le cycle de Sol se rapprochait et les animaux abandonnaient leurs robes sombres pour des couleurs plus claires et un poil moins épais.

Le Vivihl tendit soudain la tête, les yeux et les oreilles en alerte. Je m’immobilisai aussitôt à quelques mètres de ma proie, ralentissant ma respiration au maximum. Un geste de trop et la bête décampait. Pendant ces quelques secondes tous mes sens prirent une importance énorme : une fourmi courait sur ma jambe droite. Une brindille me chatouillait le visage. Un souffle frais remuait les plantes du sous-bois. J’allais devoir agir juste après que la bête soit à nouveau en confiance.

Elle hésita quelques instants puis plongea à nouveau la tête dans les herbes. Je bondis aussitôt et projetai ma lance de toute la force de mon bras. La bête fut frappé en plein flan et s’écroula au sol.

Triomphant, je m’approchai d’elle en écartant les hautes herbes. Et c’est là que je chus.


***


J’étais dans une faille, une sorte de crevasse assez profonde cachée par les herbes. Mes genoux me faisaient mal, mais ils semblaient ne pas être cassés. C’est en essayant de me relever que je le vis. Un homme effondré sur la paroi, recouvert d’une armure de cuir et de bronze. Une sorte de pic de guerre était posé à côté de lui. Il avait eu moins de chance que moi. Une épine de rosier de Lun lui transperçait le flan de part en part. Je m’approchai. Il respirait difficilement mais me fixait avec des yeux sombres.

Sa peau mat, son équipement martial, ses pupilles presque inexistantes ne pouvaient vouloir dire qu’une seule chose : j’étais en face d’un Ar’Van.

Je me reculai et appelai mes compagnons.


***


Avec l’aide de tout le monde, j’avais été sorti de la crevasse. Le lecteur avait préféré qu’on laisse le guerrier Ar’Van en bas, de peur qu’il ne soit achevé par tout déplacement. Il était lui-même descendu avec Sa’Vial pour tenter de soigner le blessé et de communiquer avec lui. Vehl prenait la chose avec une certaine décontraction.

- ça n’était pas censé être une chasse au vivihl ?

J’eus un sourire sans joie.

- J’en serai bien resté là… Je me demande en tout cas ce que ce guerrier fait ici. Nous avons maintenant plus de douze feyals d’avance sur Sol. Je croyais que les Ar’Van ne s’aventurait jamais aussi loin ?

- Peut être chassait-il le vivihl ? tenta Koltar.

Vehl et moi ne prîmes pas la peine d’essayer de lui répondre.

- J’ai entendu parler de voyageurs qui seraient restés coincé dans une grotte à cause d’une tempête de cristal pendant plus de soixante feyals ; poursuivit Vehl.

- Ça n’arrive que dans le Nord ; répondis-je. Ici il n’y a jamais de
pluies de cristal.

Nous restâmes plongés dans nos pensées quelques instants. Les Ar’Van étaient nos ennemis. Nos deux peuples se suivaient l’un l’autre et ils ne se passaient jamais rien de bon quand nous nous croisions. Les clans qui étaient en tête de notre peuple, ceux qui marchaient sous le crépuscule, livraient bataille contre eux tout les cycles dans la passe du sang. C’était le seul endroit de Mel’Eten qui permettait de franchir l’océan à sec pour revenir à notre point de départ et recommencer un nouveau cycle de marche. On ne savait plus trop combien il y avait eu de morts dans cet endroit, mais le sol était gorgé d’ossements. Les collines étaient transformées en forts pendant le cycle de Sol, mais nous démolissions tout à notre passage afin d’empêcher les Ar’Van de consolider la passe.

Enfin nous entendîmes le lecteur nous appeler et nous le hissâmes en haut de la crevasse.

- Il n’en a plus pour longtemps ; lâcha-t-il.

Le lecteur reprit son souffle quelques instants, apparemment éprouvé. C’était toujours un peu réconfortant de voir que même lui avait des moments de faiblesse.

- Il vient du clan solaire de Zer, ceux qui nous suivent directement. Sa monture s’est affolée en voyant un kolv près d’ici et il a été désarçonné. Il a alors chuté dans la crevasse, pendant le dernier feyal.

Sa’Vial commençait à remonter également. Nous vînmes lui donner un coup de main. Il se redressa bientôt de toute sa hauteur.

- Voilà ce qui a du l’amener aussi loin, dit-il en ouvrant la main.

Il s’agissait d’un cylindre taillé dans de la corne, gravé de signes étranges sur toute sa longueur.

- Un bâton message, affirma le lecteur. Les signes gravés sont des runes de la caste des mages de feu. Je suis incapable de les traduire.

-Le voilà ton vivihl, souffla Vehl à Koltar.

- Nous essayerons de trouver quelqu’un pour ça à la cité de fer, conclut Sa’Vial. Nous n’avons que trop perdu de temps. Nous reprenons la marche !


***


J’appris plus tard que le lecteur avait laissé à l’Ar’Van des herbes afin qu’il puisse mettre fin à ses jours sans douleur. J’étais un peu troublé à cette pensée. Le guerrier était mortellement blessé, d’accord. Autant qu’il s’épargne des souffrances inutiles, je le comprenais aussi. Mais il y avait quelque chose de pathétique et de déshonorant dans cette fin. Cet homme, qui avait eut le courage de s’aventurer seul en territoire étranger, loin des siens, venait de trouver une mort ridicule. Blessé par une chute, probablement achevé par une décoction proposée par ses ennemis héréditaires. Il ne lui restait plus que l’oubli. Que saurait sa famille, ses amis de sa disparition ? Rien. Et peut être en serait-il ainsi pour chacun de nous, aussi brave soit-il.


Je ruminai ces sombres pensées depuis que nous étions sortis de la forêt des mille épines quand enfin nous arrivâmes en vue du grand fleuve Limifer, la dernière étape importante avant la puissante cité de fer.
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Cneus le cruel
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Cneus le cruel


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MessageSujet: Re: Les Astres Dieux   Les Astres Dieux - Page 2 EmptyVen 24 Aoû - 21:13

Chapitre 6 : le chant du Limifer

- Nous passerons à gué plus au Nord, affirma Sa’Vial. Le fleuve s’y divise en de nombreux bras, moins profonds et aux courants moins puissants.

Moi et mes compagnons chevaucheurs hochâmes de la tête avec respect. Nous espérions tous un jour devenir aussi doué que notre guide. Il avait sauvé par le passé plusieurs de nos caravanes de dangers terribles. Il semblait qu’en sa compagnie les coulées de boue, les pluies de cristal et les pillards n’étaient que des épreuves des jeux de l’eau.
C’était du moins ainsi que les choses s’étaient gravées dans notre imaginaire, alors que nous n’étions que des enfants au coin du feu écoutant les vieux guerriers raconter leurs histoires.

- Lehn et Vehl, vous allez partir avec moi en reconnaissance pour trouver un passage. Koltar, tu va nous poser des pièges à gibier pour que nous ayons un peu de viande à saler au lever de feyal.

- Je resterai ici, affirma le lecteur. Je vais faire un peu de lecture.

« Un peu de lecture » signifiait consulter les étoiles dans le vocabulaire peu orthodoxe de notre sage. J’avais compris avec le temps que notre lecteur était étrange même pour ses semblables des autres clans. C’était, je crois, son flegme et ses petites provocations qui le différenciaient des autres.

Sa’Vial n’eut pas l’air très rassuré par ses propos. Il avait sans doute prévu autre chose pour lui.

- Ne t’inquiètes pas ; anticipa le lecteur. N’avons nous pas couru ensemble les dangers de la plaine ? Je vais trouver une hauteur et mit s’installer
jusqu’au zénith. Frazz, mon brave yek, saura bien me prévenir si jamais il y a un danger.

Sa’Vial eut une moue un peu contrarié, avant de talonner sa monture et de partir vers le Nord.

***

Le Limifer était un fleuve puissant, un long ruban gris et bleu aux flots rapides. En mon for intérieur je me dis que c’était là bon signe : ces couleurs étaient aussi celles de notre expédition. Je me demandai ce qu’en dirai notre lecteur.

Pour le moment je galopai seul sur une de ses berges de terre humide, à la recherche d’un passage. Il était plus probable de trouver un gué plus au Nord, là où était parti notre guide et Vehl, mais Sa’Vial avait insisté pour que je cherche dans cette zone. Il m’avait rappelé un de nos vieux chants de marche où l’on parlait d’un tel passage. Les indices étaient plutôt minces. Le couplet se composait à peu près ainsi :

« Après la course des milles épines,
la faille de Fedror franchie ;
prononce l’adieu aux lointaines cimes
salut Limifer en ami.
Si tu veux sans te noyer franchir son lit,
Cherches la table où elle dîne
Elle, la reine des eaux jamais endormie,
sous les eaux commet ses crimes. »

Ses chants avaient été composés par les anciens du clan, souvent en des temps très lointains. Ils étaient sans doute très clairs pour eux mais je n’étais pas un ancien... Sa’Vial lui-même avait du trouver ce couplet énigmatique étant donné qu’il avait préféré continuer l’exploration un peu plus au Nord au lieu de s’en tenir au chant.

Quoi qu’il en soit je devais m’occuper de ma tâche avec sérieux.
Vehl avait aujourd’hui la chance de galoper avec le guide, je devais montrer de quoi j’étais capable.

Je décidai de trouver une hauteur afin de pouvoir mieux observer le fleuve. Une petite falaise le surplombait un peu plus au Sud. Je flattai l’encolure de Zyl, ma yek favorite, et nous partîmes tous deux dans cette direction.

Les bandes de terre humide avaient laissé la place à une berge très dense, couverte d’herbes hautes, de spirales de zef barbelées et de hautes flûtes de bois creuses qu’on trouvait toujours en masse près des points d’eau.

Zyl n’avait que faire de tous ces menus obstacles et piétinait l’ensemble avec une force égale. En revanche, elle ne dédaignait pas tourner la tête de temps en temps pour brouter quelques gros bourgeons bien frais ou une touffe d’herbe vivace.

Notre avancée fit fuir des nuages d’oiseaux et je dois avouer que ce ne fut pas une reconnaissance où je fus très discret.

J’arrivai enfin au pied du promontoire. Je mis pied à terre et pris ma bête par les rênes pour monter les premières côtes, un peu raides et surtout boueuses. Après quelques minutes d’efforts nous arrivâmes enfin au sommet.

Je pris quelques instants pour reprendre mon souffle et en profitai pour observer le paysage. Le ciel était sans nuage et Lun jetait ses doux rayons argent sur le monde. A l’Est, néanmoins, on pouvait voir une mince ligne rose sur l’horizon qui attestait de l’arrivée de Sol dans quelques feyals.

Me rappelant que le lecteur avait dit qu’il chercherait une hauteur, j’observai rapidement les sous-bois autour. Je me l’imaginai très bien sortir d’un bosquet ou apparaître la tête en bas dans un arbre pour me surprendre avant de me sermonner.

Je ne vis rien. Le sermon ne serait apparemment pas pour maintenant. Je me remis à observer le fleuve. Il fallait trouver la table de cette reine aquatique…

Je fis du regard le tour des montagnes et des collines. Il y en aurait peut être une qui ressemblerait à une table. Je vis successivement les formes d’un Sworph en train de dormir, les crocs d’un Kolv furieux et le dos rond d’une coquille d’Urgal (que mère cuisinait mieux que toute autre !). Mais point de table. Par acquis de conscience je pensai à la falaise sur laquelle je me trouvais, mais de loin il ne m’avait pas semblé qu’elle ressemblât à aucun animal que je connaisse.

Bon. Ça partait mal. Qu’en était-il de la reine ? « Jamais endormie…sous les eaux commet ses crimes… »Il devait s’agir d’un prédateur aquatique. Qui mangeait sur une table. Je m’égarai rapidement à imaginer quelles sortes d’herbes devaient fumer les anciens avant de faire une liste des prédateurs aquatiques que je connaissais…

J’en étais au Vorpak croasseur quant un mouvement attira mon regard. Une silhouette s’agitait dans les sous bois, en bas du promontoire, sur la berge Sud. Les jeunes troncs d’argents étaient trop haut pour que je puisse voir ce qui se passait, mais les frondaisons tremblaient tout autour avec fureur. Je saisis mon arc et mit à descendre la côte aussi rapidement que possible.

Parvenu à proximité, je bandai mon arc et m’avançai avec prudence, le dos courbé, l’œil aux aguets, le pied léger.

Devant moi un bosquet de tronc d’argent continuait de s’agiter avec frénésie. J’écartai un branchage et découvris la scène. Une gracile azelle s’était pris la patte dans un collet.

Je prendrai ici le temps de la décrire, parce qu’elle était vraiment exceptionnelle. L’azelle est un animal important pour nous. Ses quatre petits sabots sont comme les chaussons d’une princesse, ses pattes sont fines et puissantes, sa robe est délicate et ses yeux sont grands et brillants comme un lac de montagne. Nous l’appelons la dame des bois, la femme du grand cornu. Et parmi toutes les azelles celle-ci était la plus belle. Son poil était d’un pur blanc, à l’exception de sa tête noire, comme si elle portait u
n capuchon. S’il m’était donné d’avoir descendance, pensai-je alors, ce moment lui serait raconté jusqu'à ce qu’elle le connaisse par cœur.

Elle s’immobilisa en me voyant, ses grands yeux noirs fixés sur moi. J’hésitai une demie-seconde. Que devais-je faire ? La tuer pour notre repas ? La laisser là pour celui qui avait posé le piège ? La libérer ?

Honnêtement, tuer une telle bête aurait été…assassin. J’en étais incapable. Je décidai de la libérer.

Je commençai par lui parler à voix basse, à lui murmurer des mots rassurants. Seules ses oreilles bougèrent, papillonnant légèrement. Puis je m’approchai tout doucement tout en continuant à lui parler. Elle fit quelques pas en arrière puis s’arrêta, la patte tendue par le collet, l’air apeuré.
Je m’arrêtai à nouveau quelques
instants avant de reprendre ma marche. Plus que quelques centimètres et ma main
pourrait toucher la corde…presque…ça y était. Je m’agenouillai doucement près du tronc où était attaché le piège. Avec mon dos je cachai la lame de mon couteau à la blanche azelle. Mieux valait éviter de l’effrayer. Elle pourrait se faire mal avec la corde ou même me donner une ruade.

Quelques coups rapides de lames, la corde craqua et céda, la bête était libre. Je crus qu’elle ne comprit pas tout de suite ce qu’il s’était passé. Elle continuait à me regarder, imperturbable, à nouveau souveraine des bois. Puis elle bondit avec légèreté vers la berge proche. Je m’avançai et la vis à nouveau sur le bord du fleuve, sa tête tournée vers moi avec ses grands yeux curieux.

Elle fit alors trois magnifiques sauts sur l’eau qui me stupéfièrent. Elle était maintenant juchée sur un rocher plat au milieu du cours d’eau. La table. Derrière elle trois ronds concentriques finissait de s’étendre sur la surface. Elle fit trois nouveaux bonds et atterrit sur la berge opposée puis disparut à l’orée des bois.

Qui pourrait nous empêcher de parvenir à la cité de fer si même les animaux de la forêt nous venaient en aide ? J’improvisai aussitôt sur la berge une offrande aux Astres-Dieux pour les remercier de m’avoir ainsi montré le gué et me hâtai après de regagner le campement.

***

Je ne sais pas trop pourquoi, mais le lecteur ne voulut pas que je raconte mon histoire à Koltar et Vehl. Selon lui cela aurait put attiser la jalousie entre nous ou quelque chose dans ce goût là. J’avoue que je fus assez frustré de ne pas pouvoir parler plus longtemps des faveurs que m’avait offertes la dame des bois !

Toujours est-il qu’au lever de feyal nous rejoignîmes « mon » gué. Les yeks s’enfoncèrent dans l’eau jusqu’aux genoux avant de progresser. Je remarquai que seules quelques grosses pierres affleurantes avaient permis à l’aselle de « marcher » sur le fleuve.

C’est le lecteur qui nous appris que ce gué n’était pas d’origine naturelle. Il s’agissait des restes d’une antique route construite par les Vieren dans un temps lointain, quant ils possédaient de puissants empires.

Au milieu du fleuve, j’arrivai enfin à hauteur de la fameuse « table ». Comme après un banquet on trouvait dessus de vieux os séchés. En fait d’os, il s’agissait d’arrêtes.

- Un repas de Sadol, lâcha Sa’Vial. Ces petites bêtes n’ont pas leur pareil pour pêcher !

Je souris. Finalement les chants des anciens avaient du bon. Je décidai de rajouter un nouveau couplet :

« Là la blanche dame s’ébat et pleure,
contre le piège qui la lie,
la condamne au dur couteau du chasseur,
délie-la et l’eau est franchie »
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éowyn
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éowyn


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MessageSujet: Re: Les Astres Dieux   Les Astres Dieux - Page 2 EmptyMar 11 Sep - 23:44

Aaaaaaaah Cneuuuus c'est bieeeeeeeeeen!! cheers Tu continues hein?
Et merci pour ton com sur Ar Melezour,t'es chou! I love you
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http://armelezour.overblog.com/
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